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jouveneau
Messages : 11
Date d'inscription : 26/09/2017

Plan d’action: Les propositions du rapport Jean Gaillard : Empty Plan d’action: Les propositions du rapport Jean Gaillard :

Mer 4 Oct - 13:00
Voir la liste des 50 propositions et les classer et critiquer selon leur pertinence.
J’ai cette liste et peux la fournir mais sans les explications autour c’est un peu abscon.
En fait, c’est souvent abscon…
Sonder ces propositions entre nous? Formulaire/questionnaire

En fait, les voici en vrac...

Les propositions présentées dans le rapport :
Liste des propositions :
-p41 : Proposition 1. Donner une existence à la prestation vfx dans le cadre des devis-type cinéma et audiovisuel

-p42 : Proposition 2. Donner une existence à la prestation vfx dans tous les barèmes de points sur lesquels reposent des agréments ou l’accès aux aides publiques et financement encadrés (voir les sections correspondantes dans la partie consacrée à la demande domestique).

-p42 : Proposition 3. Dans le devis-type (cinéma et audiovisuel), créer des classes dédiées aux
VFX.
En détailler les grands métiers, en identifiant les parties communes avec l’animation.
Y inclure comme items la prévisualisation et la préviz on-set.
Conserver ou réorganiser la classe SFX existante, correspondant aux effets spéciaux physiques durant le tournage.

-p43 : Proposition 4. Procéder à un traitement de données systématique, par exemple au moment de l’agrément et autres commissions similaires, pour en extraire des indicateurs de l’activité du secteur. Publier ces indicateurs, ainsi que les données traitées par la FICAM.

-p43 : Proposition 5. Nous proposons ci-dessous une première approche, simplifiée, succincte et sans prétention à l’exhaustivité, pour une évolution du devis-type selon deux dimensions fondamentales, qui rend possible tous les traitements :
- La structuration du devis en métiers (lignes)
- La ventilation des coûts par nature de dépenses (colonnes)

-p48 : Proposition 6. Dans les différentes actions envisagées dans ce rapport, concernant la formation, les bonnes pratiques professionnelles et la reconnaissance des métiers des VFX, la prévisualisation doit être prise en compte.

-p49 : Proposition 7. Dans les différentes actions envisagées dans ce rapport, concernant la formation, les bonnes pratiques professionnelles et la reconnaissance des métiers des VFX, la prévisualisation sous ses différentes formes et la motion capture doivent être prises en compte.

-p52 : Proposition 8. Envisager la mise en place de mécanismes d’interventions de l’IFCIC en quasi fonds propres pour les entreprises VFX, à l’instar des mécanismes similaires mis en œuvre dans le domaine des industries culturelles.

-p56 : Proposition 9. Mettre en place un suivi des rémunérations et des pratiques contractuelles.

-p56 : Proposition 10. Maintenir des informations à jour sur les rémunérations dans les grandes places VFX internationales.

-p57 : Proposition 11. Rappeler de manière détaillée aux entreprises, par les organisations professionnelles et sociales et le CNC, le cadre conventionnel applicable à l’emploi salarié.

-p58 : Proposition 12. Envisager des allégements de cotisations sociales attachés à un statut Entreprises Visuellement Innovantes dans le champ duquel rentrent les prestataires VFX sous certaines conditions liées au niveau d’innovation technique ou visuelle.

-p58 : Proposition 13. S’assurer du respect par tous des obligations liées à la Certification Sociale, pour que les mêmes conditions s’appliquent équitablement à toutes les entreprises.
La certification peut constituer une condition par exemple dans le cadre des procédures d’agrément ou de traitement du COSIP (tous les prestataires devant être à jour de la certification), des NTP, de la CIT et de RIAM.

-p60 : Proposition 14. Le secteur de la prestation VFX doit s’impliquer dans l’action collective et
se structurer.
Il serait souhaitable que la FICAM fasse évoluer ses instances et son recrutement d’adhérents pour refléter l’importance des VFX au sein du grand ensemble des industries techniques

-p60 : Proposition 15. L’observatoire FICAM de la délocalisation devrait rendre compte de l’ensemble des métiers concernés par la délocalisation et non seulement des semaines de tournage.
Si la délocalisation des VFX s’avère trop difficile à mesurer en nombres de plans, elle peut l’être en nombres de titres ou en valeur dès lors que les VFX sont reflétés dans le devis-type.

-p62 : Proposition 16. Adapter le fonctionnement de RIAM de façon à augmenter et accélérer le soutien à la r&d continue des entreprises VFX.
Une hypothèse consisterait à ouvrir aux entreprises VFX un ‘droit de tirage’, sur la base d’un programme de développement annuel ou pluriannuel. Ce programme constituerait le dossier de demande ‘cadre’. Les entreprises pourraient financer des développements courts ou spécifiques avec un formalisme minimal pour un financement ultra-rapide, dans la mesure où ils s’inscrivent dans la politique décrite au dossier cadre et font progresser l’état de l’art ou la productivité.

-p62 : Proposition 17. Les partenariats entre entreprises, dans la mesure où ils sont circonscrits dans le temps (moins de 18 à 24 mois), dans l’espace (2 ou 3 entreprises max) et où leurs objectifs et la validation des résultats sont bien explicites, doivent être bonifiés.

-p62 : Proposition 18. Le financement des développements s’appuyant sur l’Open Source et pour lesquels les contributions en retour sont réelles et significatives peut faire l’objet de bonification.

-p63 : Proposition 19. Il semble également important d’augmenter la notoriété et l’utilisation du dispositif par les entreprises actives majoritairement ou essentiellement en publicité.

-p63 : Proposition 20. Mise en place d’une aide basée sur les dépenses de rendu en mode SaaS.

-p63 : Proposition 21. Mise en place d’une aide (si elle n’existe pas déjà) pour le financement des frais d’accès au service de liaisons professionnelles très haut débit (et éventuellement des coûts récurrents).
D’une manière générale, favoriser l’interconnexion des entreprises à l’échelle nationale et internationale.

-p69 : Proposition 22. Se rapprocher de l’ARPP pour effectuer une analyse détaillée du contenu VFX sur un échantillon représentatif de la production française (par exemple période de trois mois).

-p70 : Proposition 23. Envisager avec l’ARPP et l’interprofession publicitaire une évolution du schéma de métadonnées PubID pour refléter la présence de VFX dans les films et en identifier les prestataires.
Mettre en place un suivi régulier du nombre et de l’origine des films contenant une proportion significative de VFX typés.

-p72 : Proposition 24. Lancer, avec une ou plusieurs chaînes un Appel à Projets doté d’un financement spécifique (complémentaire des financements classiques ou par adaptation de ceux-ci) pour des mini séries ou collections sur des thématiques ou genres faisant explicitement recours aux VFX. Les projets soumis devraient être portés par un duo producteur / prestataire.
L’Appel peut être segmenté en deux parties : pilotes et phases expérimentales, puis production proprement dite.
Il est articulé, en termes d’instruction et de pilotage, avec le COSIP et les aides NTP.
L’Appel est lancé en commun avec une ou plusieurs chaînes, voire avec le fonds existant de la Région Ile-de-France.
Le dispositif permettrait d’accompagner en profondeur trois à cinq projets d’exception par an, en apportant des compléments de financement de 200k à 400k /heure.

-p77 : Proposition 25. Rendre obligatoire pour l’obtention de l’agrément ou de financement publics dans le cas des productions cinéma et télévision pour lesquelles le budget VFX excède un certain montant (50 k€ par exemple), la conclusion d’un contrat de prestation VFX selon un modèle type à établir dans un cadre interprofessionnel.
Ce contrat type récapitulerait notamment les conditions de la commande, les éléments à fournir par la production, les conditions et délais de validation, la définition des retakes créatives et leur traitement.

-p78 : Proposition 26. S’assurer que le plancher en % de dépenses en France ne constitue pas un plafond excluant de facto les VFX dans le cas où seuls les VFX sont maintenus en France. (En d’autres termes, éviter le cas où les points du périmètre moyens techniques puissent être obtenus en totalité alors que les VFX sont délocalisés).
Faire évoluer la règle « 80 points valent 100 » qui conduit de facto à exclure des prestations comme les VFX.

-p78 : Proposition 27. Bonifier le nombre de points et le soutien quand les VFX existent et sont intégralement (éventuellement partiellement) maintenus en France.

-p80 : Proposition 28. Sensibiliser les membres des commissions (commission d’Agrément et commission Crédit d’Impôt) à l’importance des VFX pour la création et l’emploi territorial, notamment au regard de l’appréciation du critère de production ‘principalement’ en France.

-p80 : Proposition 29. Mettre en place une bonification pour les productions ayant une ambition VFX significative, évaluée sur la base d’un plancher de dépenses VFX (par exemple 100k€ /heure en fiction, inférieur en documentaire).

-p80 : Proposition 30. Sensibiliser les membres des commissions (commission d’Agrément et commission Crédit d’Impôt) à l’importance des VFX pour la création et l’emploi territorial, notamment au regard de l’appréciation du critère de production ‘principalement’ en France.

-p81 : Proposition 31. Aménager les plafonds du crédit d’impôt audiovisuel – documentaire afin
qu’ils ne pénalisent pas le cas des documentaires ayant des budgets VFX élevés. Cela pourrait prendre la forme d’une assimilation de ce cas à celui des documentaires scientifiques et historiques, qui peuvent déjà être bonifiés.

-p83 : Proposition 32. Rendre complètement explicites les travaux éligibles et l’acception
« Nouvelles Technologies en Production ».
D’une manière générale, les dépenses éligibles correspondent à l’utilisation de technologies faisant progresser l’état de l’art, aux surcoûts d’adoption de ces technologies ou aux coûts de leur application à des volumes importants.

-p83 : Proposition 33. Définir les critères applicables à l’aide au relief en fonction des débouchés
réels des œuvres.

-p83 : Proposition 34. Réserver une enveloppe spécifique NTP-VFX, en augmentation du budget actuel, pour une aide semi-automatique.
Nous estimons que cela nécessiterait un doublement du niveau actuel d’intervention VFX, soit environ 4 m€ additionnels
Les taux d’aide de base dépendent des catégories de VFX (Univers / Support / Réparation), avec des planchers d’éligibilité en nombre de plans truqués (inversement élevés selon la catégorie).
Une bonification est possible si le nombre de plans est élevé, ou si le projet fait progresser significativement l’état de l’art.
Une bonification supplémentaire s’applique aux projets particulièrement distinctifs artistiquement.
Le formalisme du dispositif NTP-VFX doit être aussi simple que possible afin d’éviter un effet repoussoir.
Une grille de demande synthétique permet le déclenchement de la partie automatique de l’aide par l’équipe NTP.
Les bonifications sélectives rejoignent le planning des commissions. Mise à jour de la grille avec les données finales après production.

-p83 : Proposition 35. Rendre le conventionnement de l’aide NTP tripartite. A minima les aides sont versées directement aux prestataires sous certaines conditions formelles. Le prestataire doit être celui présenté au dossier (à défaut, une nouvelle demande doit être présentée). Le prestataire est informé directement de la décision.

-p84 : Proposition 36. Le devis VFX dans la demande est réputé indicatif. Il peut être mis à jour une fois les travaux VFX débutés (par exemple au moment du montage), entraînant l’augmentation mécanique du montant de l’aide (dans certaines limites), à la demande du producteur ou du prestataire. Le pourcentage de dépense VFX non couvert par l’aide (et donc à la charge du producteur) est réputé constant.

-p85 : Proposition 37. Créer un César des VFX. Le César est attribué au superviseur VFX et à son
équipe et fait référence au prestataire.

-p85 : Proposition 38. Impliquer l’ensemble des entreprises VFX dans la programmation du PIDS et l’attribution des Génie Awards. Faire évoluer la programmation, la communication et l’événement lui-même afin de le rendre attractif au monde de la production.

-p87 : Proposition 39. Définir, en concertation avec les professionnels spécialisés, un ensemble de modules de formation initiale sur les VFX et les méthodes de création visuelle numérique, destinés aux futurs auteurs, réalisateurs, directeurs de production, directeurs de post-production, directeurs de la photographie, chefs décorateurs et chefs monteurs. Ces modules sont destinés à s’intégrer en priorité dans les enseignements de la Femis et de l’ENSLL (formation initiale).
Le domaine inclut la prévisualisation et la prévisualisation on-set.

-p87 : Proposition 40. Organiser, avec les écoles spécialisées une série d’évènements sous forme de conférences ouvertes, s’adressant aux mêmes publics et rassemblant de manière compacte sous forme de fil de présentations les grands sujets43 (formation évènementielle).

-p87 : Proposition 41. Définir et mettre en œuvre, pour ces mêmes publics, des modules de formation continue courts (1 à 2 jours) visant une mise à niveau, par une ou plusieurs structures de formation (formation continue). S’assurer de la bonne promotion de ces offres.

-p87 : Proposition 42. Favoriser les collaborations entre les écoles des filières de l’écriture, de la réalisation, de la production, du montage et de l’image, et les écoles formant des artistes VFX. Le moment le plus naturel pour faire se produire de telles collaborations avec le minimum de complications organisationnelles est celui des travaux de fin d’année ou de fins d’études.

-p91 : Proposition 43. Le marché international des VFX ne se limite pas à sa partie la plus visible :
les films à VFX Univers des majors américaines.
Le marché auxquelles peuvent prétendre prioritairement les entreprises françaises concerne les autres segments, plus divers, des films de moindre ambition, des producteurs indépendants et de la série d’ambition internationale.
Une étude de marché approfondie doit être réalisée afin de mesurer le potentiel de ces marchés, d’en identifier les principaux acteurs production/client et les schémas de prestation en vigueur.
Cette étude doit également couvrir les schémas de concurrence internationale pour la production publicitaire internationale haut-de- gamme.

-p100 : Proposition 44. Mener une mission d’étude spécifique au cas allemand afin de comprendre les mécanismes qui ont permis l’émergence de prestataires sur la scène internationale.

-p102 : Proposition 45. Abaisser le plancher de dépenses éligibles, au moins dans le cas où seuls
les VFX sont l’objet de la demande de C2I, à 100 000 €.

-p102 : Proposition 46. Orienter l’action « commerciale » et promotionnelle autour du C2I pour aller dans le sens d’un panachage de dépenses au-delà du seul tournage.

-p102 : Proposition 47. Solliciter les grands spécialistes de la production exécutive américain en
France afin d’identifier :
- leur connaissance de la scène VFX française et si leur position leur permet d’être prescripteurs pour ce segment
- leurs éventuelles réticences ou attentes non satisfaites.

-p103 : Proposition 48. Étudier la faisabilité d’un mécanisme de bonification du C2I dans le cas de productions dépensant en France sur plusieurs domaines-métiers dont les VFX.

-p104 : Proposition 49. Réaliser une étude détaillée de la concurrence réelle (territoires et entreprises, notamment pour la clientèle autre que les majors).
Réaliser une étude comparative des dispositifs fiscaux concurrents, portant spécifiquement sur leur simplicité et la facilité avec laquelle ils sont mis en Œuvre.

-p104 : Proposition 50. Réaliser une étude de marché segmentée, recoupée avec l’étude de la
concurrence.
Identifier individuellement les donneurs d’ordre et installer un principe de communication régulière avec ceux-ci. Le moment venu, envisager une série d’invitations pour rencontrer les entreprises françaises.
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